Ecrire le Dimanche, c’est comme demander à l’UMP de choisir un leader… C’est compliqué.
Je navigue à vue dans une sorte d’état général qui se situe entre le réveil et l’envie de se recoucher. le temps est long et le syndrome du cartable à faire pour le lundi flotte au dessus de ma tête. Le rien m’attire au delà du raisonnable. Je vagabonde entre les idées avec l’énergie d’un paresseux après le repas. (pendu à l’envers à une branche) Un documentaire du national géographique sur les hyppos me conforte dans mon état animal, je force pour m’extirper du canapé toujours trop profond les jours de grande flemme. La paupière lourde et la main pesante… l’écriture semblait pourtant facile aujourd’hui… Il y a des jours où le paradoxe mène la danse. Il faut alors baisser la tête et attendre que l’averse s’éloigne. Je me penche en arrière sur mon siège, regarde mes doigt s’écraser sur le clavier et me demande quelle excuse je vais bien pouvoir m’inventer pour ne pas écrire. Je ne trouve rien. Les Dolce ont gagné…