Une vue de Shanghai…
Fin de la première version de « personne(s)… Début de la seconde version de « Shanghai Memory »… Elaboration du plan du tome 3 des Dolce et retouches sur la comédie « Trois fois rien »… Les projets avancent, se concrétisent et glisseront bientôt vers d’autres mains pour qu’ils deviennent « vivants ». J’ai enfin trouvé une solution à mon héroïne dans ce thriller qui se passe à Shanghai. Cela m’oblige à reprendre le scénario du début, mais ça en vaut la peine.
Bernanos disait: » La douleur d’écrire, le bonheur d’avoir écris ».
F
fredericpetitjean 
J’imagine que le choix de Shanghai pour situer l’intrigue doit demander un gros travail de documentation en amont de l’écriture. Cela dit, le temps passé en recherches n’est pas du temps perdu, même s’il retarde le moment où le roman sera achevé. Le simple fait de s’enrichir personnellement est déjà très gratifiant. Combien de temps consacres-tu à tes recherches ?
Bonne continuation…
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bonjour, désolé pour cette réponse tardive. Je suis allé à Shanghai plusieurs fois, mais lors de ma dernière visite je suis resté 3 semaines pour écrire la première version au coeur même de la ville. En ce moment j’entame la seconde après discussion avec la productrice. Pour la documentation (en dehors des phases d’histoire pures ») je préfère écrire sur des endroits que je connais. J’ai vécu longtemps à Brooklyn pour « Les dolce » par exemple.
En ce qui concerne les interviews et la communication autour de notre travail… je crois que cela dépend vraiment des caractères, mais dans l’ensemble si on écris pour que ça soit lu, vu ou entendu par les autres, il faut pouvoir en parler et ne pas se fermer. Cependant la place faite aux auteurs dans la presse est minime surtout au cinéma.
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