Plus que quelques heures à vivre dans le faux monde.
Contrairement à la précédente cette journée à commencé par un « sourire »…
Il n’y a donc pas que les plombiers… Mais les photographes aussi qui sourient !
Direction le palais pour voir « 120 battements pas minute ». Quand on sort d’un film et qu’on se sent minable parce qu’à l’évidence on a pas le talent pour faire de telles choses, c’est que c’est très réussi.
J’ai déjà eu la chance d’être spectateur…
Autant dire que le cocktail dans lequel je me suis rendu juste après m’a paru décalé… Pour faire bonne figure j’ai renversé un bol de gaspacho sur la moquette blanche , et j’ai fait semblant de comprendre le responsable du cinéma Turque qui s’exprimait dans sa langue… Autant convaincre Village People de faire un comme back en Tchétchénie.
Le Turque est susceptible quand il s’aperçoit que son mocassin est recouvert de Gaspacho.
J’étais venu avec la ferme intention de laisser une trace dans le cinéma… Finalement ça sera sur des chaussures.
Il ne me reste plus qu’un seul rendez vous…
Alors que Jean-Claude Narcy et PPDA tentent un retour dont personne ne veut…
Emmanuelle Béart fait la « fine » bouche…
Elle se rapproche des Bogdanov, faut qu’elle fasse attention !
Je cours transpirant sur la croisette pour ne pas arriver en retard à ce dernier meeting, prenant un soin particulier pour avoir deux auréoles de la même taille sous les bras.
Je ne m’arrête pas à la boutique Hermes…
Ni devant La « petite Kardashian qui joue à Candy Crush avec un Bee Gees.
Pour arriver enfin au rendez vous tant attendu… Et trouver un petit mot sur la table… « J’aurai deux heures de retard » (véridique)
Quand je pense que je commence à culpabiliser au bout d’un quart d’heure.
Voilà… C’est ça Cannes, beaucoup de rien qui brille et pas assez de cinéma… Enfin… Pas là où il devrait être.
à L’année prochaine… Peut-être.
…
Jean Michel t’es où merde… ? Là faut qu’on y aille…