Tout comme les magiciens, je ne crois pas au hasard. Non pas que j’ignore tout bulletin de loterie, mais la simple fatalité n’obéit à aucune gratuité. A la faveur du dixième chapitre… Virginie et Antonius se disputaient comme un jeune couple menaçant de la plus définitive des ruptures au premier désaccord… même futile. Il est à noté que chez les Dolce, s’aimer pour la vie, signifie vivre ensemble pour plusieurs siècles… Il vaut mieux ne pas se tromper dès le début sur le choix du partenaire… le regret risque d’être éternel ! Bref… Déjeuner à Paris… j’attends mon rendez vous dans un café, quand un couple d’une vingtaine d’années assis à une table voisine en vient presque aux mains sur le choix stratégique de rideaux en voiles ou en velours dans leur salle à manger… Lui quitte la table sans toucher à son croque monsieur, elle fond en larmes et appelle immédiatement sa mère… Quand je me suis retrouvé en fin d’après midi devant mon écran, j’ai mis fin à la dispute entre les Virginie et Antonius, mais surtout… j’ai abandonné toutes idées de rideaux dans leur intérieur !
Merci pour ces petits moments partagés. Double bonheur : info en primeur auhourd’hui et sourire garanti « demain » lorsqu’on lira ce 3e tome…
P.S. : Doit-on s’attendre aussi à une balade dans l’espae ? 😉
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Bonjour Céline.
Demain est encore un peu loin…
Mais pour te répondre sur le tome 3 sans trop en dévoiler, disons que seule le passé peut permettre de comprendre l’avenir
F
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