Après plusieurs semaines d’absence, j’ai décidé de vous donner des nouvelles fraîches. La plus importante, celle que vous attendez tous c’est bien sûr la sortie le 8 novembre du Tome 2 de la saga des Dolce.
Presque un an jour pour jour après la sortie de « La route des magiciens », paraît donc – toujours aux Editions Don Quichotte – « Les cinq secrets ».
Dans ce nouvel opus, Rodolpherus, Melidiane, leurs enfants Antonius Leamedia et le grand-père Melkaridion vont être séparés, et ce pour la première fois de leur existence. Comme un malheur n’arrive jamais seul, ils vont également être privés de leurs précieux pouvoirs. Oui, j’avoue je dois être un peu sadique mais comme l’explique très bien le grand David Mamet, une bonne intrigue repose sur la capacité des personnages à aller au-delà de ce qui les entrave.
Melidiane redécouvre ainsi le Londres de 1966 pendant que son mari est plongé dans le Japon du début du XXe siècle. Leamedia atterrit dans le New York de 2013. Quant à Antonius et Virginie, sa fiancée humaine, ils se retrouvent à Paris la même année avant d’être de nouveau séparés. Rodolpherus réussira-t-il à réunir sa fratrie ? L’ennemi des Dolce, la Guilde Noire, réussira-t-il à mettre la main sur les secrets des magiciens ? Réponse en librairie le 8 novembre.
J’ai toujours écrit pour le cinéma. C’est sans doute pour cette raison que « les Dolce » était à la base un scénario. Aujourd’hui, des producteurs américains étudient une adaptation de la saga sur Grand écran. Ce n’est pas la première fois que le 7e art s’empare d’un livre. Vous pensez à Harry Potter bien sûr, il y a aussi Twilight ou encore Millénium.
Un phénomène qui n’est pas cantonné aux Blockbusters. En effet, beaucoup de films français sont des adaptations de livres. Je pense à « La délicatesse », « Cliente » ou encore « L’amour dure 3 ans ». Pour ces trois films, les auteurs sont passés eux-mêmes derrière la caméra. Pour David Foenkinos et Frédéric Beigbeder c’était une première. Le cas de Josiane Balasko est également intéressant. Quand elle signe le scénario de « Cliente » car il s’agit bien d’un scénario, personne n’y croit. Nous sommes en 2004, celle qui a déjà réalisé 6 films, décide alors de le publier en livre. Le film ne voit le jour qu’en 2008.
Aux Etats-Unis, les choses ne se passent pas comme ça. L’auteur et le réalisateur ne sont jamais la même personne. Prenez Stephen King, par exemple. Attention, je n’ai pas dit que je me prenais pour Stephen King. Ce sont De Palma, Cronenberg et Kubrick qui ont adaptés ses écrits sur grand écran. C’est sans doute une question de culture. Est-ce un gage de succès ? Je ne sais pas trop. Et vous, vous en pensez quoi ?