Je tiens à préciser pour nos plus jeunes lecteurs, que « summertime ne signifie pas « le temps du sum »
Bien..
Juillet tire à sa fin, Paris roule toujours aussi mal, et les moustiques « botoxent » avec énergies nos chevilles dénudées.
Impossible d’allumer la TV sans tomber sur une bande de types aux jambes épilés, qui ont décidé d’aller au même endroit passer leurs vacances en Vélo. Arborant des tenues de plages très colorées, ils se disputent le droit d’arriver en premier à l’hôtel. Il ne doit y avoir qu’une seule chambre vu l’énergie qu’ils y mettent! D’ailleurs les mecs qui sont à pied aux bord des routes protestent avec véhémence.
Dommage que le tour de France ne se déroule pas au Vatican, avec cet Etat de 44 hectares… le truc serait plié en une journée.
Bref…
Je me traine, non pas qu’il fasse trop chaud pour travailler comme disait « pulco » mais j’hésite entre m’allonger, sur le canapé, la chaise longue ou le hamac.
J’essayerai les trois !!
Le soleil donne… Je me demande d’ailleurs si Merlin avait des lunettes de soleil, où si Torquemada (chef redouté de l’inquisition au 15 siècle) portait une paire de tong en été… Yoda c’est sur il en a… avec 3 doigts de pieds tu ne vas pas loin dans les magasins de chaussures.
Donc..
Hier soir premier barbecue…
Oui c’est un peu tard je l’avoue! Mais tout vient à point à qui sait attendre! Le proverbe de Rabelais concernait cette fois, des filets mignons à se damner, et des travers de porc olympiques.
Une tuerie… Même si le lendemain matin les cheveux sentent la sauce barbecue.
J’entame donc la journée d’écriture avec l’odeur des braises au bout des doigts. Mon clavier se noircit a vue d’oeil, la douche devrait être obligatoire après une soirée merguez.
Première version de « Désordre » achevée, Plan du « Mythe de Shyle » bouclé, « On line » bientôt sous contrat, tous les romans, longs métrages et films d’animations sont en route…
Les Dolce commencent à me manquer…